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on en a des sévices ☽ wolfie
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★ MESSAGES : 94
★ AVATAR : belarus - aph.
★ RÔLE : femme de chambre.
Circé
Circé
AQUILA



on en a des sévices
le loup criait sous les feuilles
en crachant les belles plumes


elle se fait ombre éthérée dans les couloirs froids
c i r c é
le visage glacial les mains gantées
se faufile comme un fantôme entre vos regards
(acerbes)
vautour dans la foule aux prunelles aiguisées
domestique
sur laquelle vos yeux ne sauraient se poser
(elle ne voudrait pas souiller votre infinie pureté)
sur le sol de marbre ses talons claquent
menuet discret d'un crépuscule d'été
alors que la nuit se fait attendre elle se soustrait à son devoir
(juste un instant)
dans la douceur enivrante du soir

s'aventurant en ce chemin mille fois arpenté
elle file à sa rencontre (fausse ingénue)
exaltée subtilement à l'idée de lui parler
(indolente à la tendresse désintéressée)
wolfgang
comme un écho de son affection
à la douceur froide à la fragilité subtile
de ses mains souillées elle frappe trois léger coups et
se glisse sans hésiter par la porte entrebaillée
bonsoir.
doucement polie en un souffle hésitant
on m'a dit que tu avais terminé l'entrainement.
le regard clair les yeux comme une ondée
elle passe une main gantée de dentelles dans ses cheveux blancs
(à l'odeur de printemps)

Anonymous
Invité
“all of my heart is in havana”


wolfie la peau blanche les boucles éteintes ((abîmées)) à force de trop jouer avec dans les mauvais moments à passer. le regard farouche -noir, on voit dans ses perles on voit au fond de ses grands yeux le signe du soleil qui s'allume le rêve qui s'azure. dans ses yeux flamboyait un ciel plein d'univers mais lui ne regardait que l'abîme de l'ombre. wolfie papillon noir qui aimerait s'envoler d'un coup d'aile ((l'essaim de pourpre d'or)) arpentant à pas lents le corridor il est alors enveloppé d'une auréole humide. le dos mortifié les jambes lésées il inspire expire conspire jusqu'à s'enfermer dans sa chambre. il s'abandonne dans ses draps ((le souffle rauque et bref)) il ôte ses bottines, desserre le col de son pull ((son pull trop grand trop large aux manches trop longues)) pour ensuite le soulever et le jeter quelque part dans la pièce. sa peau avait maintenant l'aspect de brouillards de tourbillons de neige un vrai lyrisme se dégageait des nuances rosées ((féminines)) qui peinturaient son épiderme. wolfie était maintenant à la fois papillon, garçon et fleur. il avait le charme exquis de tout ce qui s'ignore. bordel. le sourire en fleur son visage laissait place à une vague extase ((un contentement)) tandis que son corps restait étourdi par l'endurcissement causé par ((jack)) le cavalier. il se redressa légèrement ((il manquait de l'espace à ses ailes)), roulant ses reins musculeux ((dont la chair diaphane est faite de clarté)) pour mieux se relever. une porte qui s'ouvre et un grand frisson court dans ses flancs formidables. wolfie son cœur est un roman que l'on relit sans cesse. c-cissy?! ses joues rosissent il se précipite ((ses lèvres crient)) et pour mieux résister il se tient le bras le secoue frugalement comme pour arrêter le tiraillement. qu'est-ce que tu fous- ((il se reprend)) tu as besoin de quelque chose? circé était sculptée dans sa beauté splendide -ses robes de satin de soie de dentelle épousaient son corps en ses serpentements. elle était comme gravée au soleil. on voyait en elle un aigle vivant qui tenait closes ses lippes roses -circé mêlait svelte majesté et sainte simplicité. elle était cet oiseau royal elle était sa sœur de vertu sa sœur de beauté -elle était l'une de ces présences qu'il tolérait ((appréciait)). et de ses veines de neige wolfgang ferme la porte derrière elle, il ne faisait qu'apprendre à s'aimer même si ses balafres sont effacées on ne pouvait pas encore le voir aussi dénudé ((non)). j'ai trop forcé à l'entraînement. sous les rideaux imbus d'odeurs ornementées et prune, il soupire et détourne ses yeux éteints qui lui servent d'étoiles.

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Circé
Circé
AQUILA



on en a des sévices
le loup criait sous les feuilles
en crachant les belles plumes


dans l'écho frissonnant de sa voix résonne le surnom
tant abhorré
c i s s y
(aussi humiliant qu'infantilisant)
acides syllabes tranchantes
en enfant frappée de la malédiction elle exécrait son prénom
et plus encore l'affront qu'était ce surnom
pourtant dans sa bouche il sonnait douceur de miel
sifflement vipérin sans une once de venin
juste l'expression d'une affection à laquelle
elle ne savait vraiment comment répondre
sur ses joues à lui éclot le rose délicat d'une pudeur plaintive
pourtant sur sa peau opaline les yeux de circé courent sans gêne
prunelles hivernales à l'audace polie
elle détourne cependant les yeux dans une retenue (faussement) virginale
pour regarder ses mains à la noirceur salissant les dentelles
excuse-moi.

sur sa langue les excuses coulent comme tant de perles entre ses doigts
lisses et glaciales
(sans profondeur sans valeur)
je venais seulement voir si tu allais bien.
affection maladroitement exprimée
une pointe de délicatesse dans tant de rigueur
(flamme vacillante dans l'hiver)
elle se tient bien droite icône de porcelaine
de sa main obsidienne elle saisit un de ses poignets couleur neige
(souillée) tranchant avec la pureté opalescente de sa peau lavée de cicatrices
juste une seconde ses doigts glacés rencontrent son épiderme pulsant
à travers la dentelle

et tu n'as pas l'air d'aller bien.
son regard (trou noir) fuit le sien (morceaux de lune)
avec cet air d'animal blessé
(wolfgang était toujours cet oiseau un peu meurtri)
dans la langueur lourde de la pièce assombrie
comme pris au piège

Anonymous
Invité
“kissed by fire”


circé au corps fier comme vénus -elle voilait sa beauté de cols brodés rubans clairs et robes blanches hypocrites ((elle attisait les désirs)) les yeux des amours en appréciaient les contours. et pour braver les désirs ses yeux ((à l'intensité sereine du ciel bleu)) étalaient avec tant d'insolence tant de majesté un cynisme impudent et une factice virginité. wolfie presque impassible le front de marbre l'œil hagard suivait lascivement les replis serpentins de son ondulement. ne t'excuse pas si tu n'es pas sincère, circé. sois toi-même. on a passé l'étape des codes sociaux, toi et moi. les prunelles aussi douces que la fleur d'un bleuet les pommettes roses ((blancheur d'étoile)) la chair qui avait retrouvé sa fraîcheur première -wolfgang le sourire sur ses lèvres était comme marqué au fer chauffé. il n'en avait jamais eu conscience mais l'oracle de l'éclat plumait sa beauté ((et pourtant)) il restait enfermé dans château où tous les chemins menaient aux couchers. je- ((le froid de ses gants vient raviver l'aube de sa peau)) son sifflement moqueur s'obstine à faire jaillir les oriflammes de son cœur. circé ((pélamyde)) wolfie les mains humides il ramène son gant à ses lèvres ((baiser enivré d'ambroisie)) merci de te soucier de moi. un mot de gratitudes de douces attentions -circé ne fait plus attention. les coudes sales la nuque fragile wolfgang le reflet palissant de neige et d'incendie il relâche ses cheveux en arrière d'une virile énergie. j'ai dépassé mes limites. je suis désolé de t'inquiéter. on ne pouvait pas lui en vouloir à wolfie. parce qu'il était fascinant. les joues gonflées par l'effort il paraissait aussi perché qu’un personnage de dessin animé avec ses vêtements délavés.
wolfgang est comme l'une de ces jolies fleurs ((colorées)) qu’on remarque seulement lorsqu'on est au bord de l’obscurité.

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Circé
Circé
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on en a des sévices
le loup criait sous les feuilles
en crachant les belles plumes


il avait cessé depuis des mois de la voir à travers le prisme
de la pureté chaste
les dentelles et le satin ne suffiraient jamais
à masquer sa souillure
mais les regards amers qu'on lui jetait coulaient toujours sur sa peau d'acier
sans l'érafler
(elle savait cependant que dans les yeux de wolfie
il n'y avait que de la tendresse)
sans amour ni désir
très bien.
elle le savait sans malice
(ses prunelles translucides cherchent son regard de nuit)
désintéressé de ses manières mécaniques il
n'avait que faire des jolis mots
(les fleurs n'avaient jamais fait oublier les ecchymoses
tout comme la délicatesse n'effacerait pas les maux)
mais
elle ne saurait que dire sans ces politesses factices
cristallisées comme une armure dans un monde où elle n'est
r i e n

un sourire éclot enfin sur ses lippes fleuries
comme un éclat taillé dans le marbre de sa chair
chassant vivement la mélancolie
il était à ses yeux toujours si beau dans ses gestes chastes
lorsqu'il ramène à ses lèvres sa main gantée et qu'elle
s'échappe vivement du ballet caressant de ses doigts
dans un rire si doux
(elle était comme les vagues impossible à saisir)
ne sois pas désolé. ça ne m'empêchera pas de me soucier de toi.
elle voudrait s'excuser encore mais la phrase s'échoue
sur ses lippes comme l'écume sur le sable
morte en un souffle
elle ne savait comment l'abandonner
comme une fleur au bord du chemin
dans l'ombre de cette antre elle s'avance encore
pâleur fantomatique dans l'obscurité
s'abreuvant presque de ses couleurs
(wolfgang)
et de cet amour à la chaleur fraternelle qui
comblait peut-être cette soif d'affection qu'elle ne saurait saisir

tu es sûr que tu n'as besoin de rien ?
son ton est séraphique
alors qu'elle n'ose de libérer
car sous la ligne de sa peau d’albâtre et de ses sourires rêveurs elle le sait
aliéné par cette morosité étouffante

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