Plus simplement PNJ est un personnage permettant au jeu INRP d’évoluer et d’aider et/ou accompagner les personnages interprétés par les membres du forum. Cette liste est non-exhaustive et susceptible d’être modifiée en fonction des intrigues et différentes tournures que pourra prendre le jeu INRP.

Pour le moment elle ne se compose que de Lucius, ancien Régent d’Aquila actuellement disparu.

Lucius, tout comme Ulrik et Septima, faisait partie des premiers arrivants. Orateur éloquent au charisme indéniable et aux idéaux affirmés, il se mit très tôt à rassembler à ses côtés d’autres sorciers partageant ses opinions parmi lesquelles : la priorité d’instaurer un régime en charge de la sécurité et du bien-être des sorciers piégés au sein de l’Enclave. Selon Lucius, tout le monde ne serait pas à même de se battre ni de percer les mystères de ce Nouveau Monde, aussi fallait-il prendre en compte ce facteur et s’installer confortablement le temps de mettre en œuvre de véritables stratégies.

Lorsque furent annoncées les failles sillonnant le Mur, il prit d'assaut le château de Windamere accompagné d’une poignée de fidèles et fut proclamé Régent. Et ainsi naquit Aquila.

Qu’on le craigne ou qu’on l’acclame, Lucius est un homme d’aplomb profondément convaincu de la véracité de ses prétentions. À quoi bon mettre en péril la survie de tout un groupe lorsqu’une infime minorité serait à même d’en prendre la responsabilité ? C’est dans cette optique qu’il développa de nombreux divertissements et distractions, tout en assurant un confort de vie sans pareil aux membres d’Aquila, offrant ainsi aux siens le semblant d’une vie… ordinaire ?

Mais parvenir à cet idéal, requiert de nombreux sacrifices, écraser ceux pouvant empêcher la réalisation de cet absolu et aller jusqu’à les détruire s’il le faut. Rien ne doit perturber l’ordre établi, personne n’est assez fort ou fou pour pouvoir le faire, tels étaient les dires de Lucius durant sa conquête.

Lucius a disparu il y a trois mois.  
Une disparition troublante qui inquiète son Clan et, plus encore l’Oracle qui se trouve incapable de lire le moindre signe à son sujet.