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Howe oui, howe non.
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★ MESSAGES : 58
★ AVATAR : eren j. (snk)
★ CRÉDITS : nassim & sahil & croyance & septima, merci à vous.
★ RÔLE : tapineur & reporter.
Howe
Howe
LIONTARI

Howe


+ credo « ... »

+ âge quelque part entre vingtaine et trentaine.

+ orientation sexuelle non pertinent.

+ rôle/métier tapineur et officiellement reporter.

+ particularité magique aucune.

+ lieu d’habitation  en Chine (Ingary).

+ dans l’enclave depuis environ 5 ans.

+ baguette 24,5cm, ébène, fleur de gentiane.

+ amortentia lui-même.

+ épouvantard You.

L'église sent le cierge et le bois ciré. C'est cette odeur qui forme le dernier lien avec mes parents, c'est toujours elle que je sens lorsque je pense à eux. Je ferme les yeux, m'agenouille sur le prie dieu et je me mets à prier. À mes côtés, Grand-mère (je ne l'appelle pas comme ça à l'époque, mais d'un autre nom). Nous prions en communion dans cette église qui était peut-être vieille, ou peut-être très jeune. Ça n'a pas d'importance.
Le fait est que nous prions.
Rituel sacré, tous les dimanches, cette communion avec le divin si souvent répétée que je me souviens parfaitement de nos paroles prononcées dans le secret de nos cœurs, alors que j'ai oublié tout le reste - jusqu'au visage de Grand-mère, jusqu'à la façon de je l'appelais, et même jusqu'à la langue que j'utilisais. Bon, ce n'est pas très grave, mais avant je priais avec force, mais maintenant que je suis sorcier, j'ai arrêté. Je ne crois plus en rien, même pas à la force de cette ancienne prière.
souvenir

De Howe, on ne percevait au premier contact qu'un accent chinois à couper au couteau. Sa langue déformait les mots d'une manière qui n'avait rien de normale et qui heurtait les oreilles des occidentaux. Il avait beau essayer, ses efforts pour améliorer sa prononciation se couronnaient toujours d'un échec qu'il reconnaissait en bafouillant. De l'avis de bien des gens, cet accent prononcé était quelque chose de fort drôle.
Mais Howe n'en riait pas du tout.
Même  dans la solitude de sa chambre, lorsqu'il n'avait plus à se soucier du regard des autres, lorsqu'il pouvait enfin se laisser aller à parler sans ambages, Howe ne parvenait jamais tout à fait à se débarrasser de ses tonalités asiatiques. Elles imprégnaient son langage avec la légèreté d'un parfum entêtant et étaient tout aussi difficiles à éliminer. Il s'entraînait pourtant à séparer correctement toutes les syllabes, à libérer ses voyelles, à tenter de soumettre le rythme iambique aux fantaisies de sa pensée. Son reflet dans le miroir articulait d'ailleurs des paroles silencieuses à la perfection, et il savait qu'il ne se trompait pas dans la façon de positionner sa bouche. Mais le résultat s'avérait toujours décevant, et il se détestait beaucoup de ne pas arriver à s'exprimer normalement.
On retenait également de Howe un certain tic de langage, qui consistait à ponctuer chacune de ses phrases - et parfois même, chacun de ses pensées - par un bien agressif et nerveux. Il déclinait parfois ce mot sous des formes mélioratives ou répétitives, bien très bien, bien bien bien, oui oui bien, mais l'idée restait la même. Il en venait même parfois à employer ce mot sous une forme négative, bien mais non ou non mais bien, prouvant ainsi qu'il s'agissait moins d'un compliment que d'un véritable pli de langage. D'où venait ce moment presque incongru chez lui ? S'agissait-il de l'habitude mal acquise d'un étranger ayant appris une nouvelle langue - en admettant qu'il fût effectivement un étranger ? Ce mot traduisait-il un optimisme immodéré qui résistait au passage des années ? Avait-il seulement un sens ? Howe lui-même n'aurait su expliquer le choix de ce mot. Ce qui était sûr, en tout cas, était que le bien intempestif ne provoquait pas franchement l'hilarité de ses interlocuteurs - plutôt de l'agacement, voire un soupçon d'énervement chez certains individus, ce que Howe essayait toujours de doser.
Ces réactions n'irritaient pas Howe. Il s'en accommodait même fort bien, au point de pouvoir se débarrasser de ce tic avec beaucoup de facilité - non sans une petite période d'adaptation où il devait se rappeler de ne pas utiliser le mot bien. Il le bannissait même totalement de son langage lorsqu'il en avait l'occasion, prouvant qu'il avait beaucoup de vocabulaire derrière ses aspects pathétiques.
(mais vous pouvez douter de cela ; après tout, les occasions sont loin d'être nombreuses)
Ce n'est qu'en surmontant la surprise du langage exotique que l'on prêtait davantage attention à Howe, à son tempérament, à son apparence, aussi, et que l'on comprenait que l'homme à l'accent chinois recelait des subtilités que l'on ne soupçonnait pas au premier coup d'œil.
C'était ce personnage, un peu grotesque aux premiers abords, qui était devenu en secret tapineur pour Liontari.
Howe, pensait-il, était un personnage - après tout, il ne se souvenait plus de qui était Howe avant l'enclave. Il s'appelait Howe parce qu'on l'avait décidé. Il avait probablement un autre nom, autrefois, mais c'était celui-là qui était ressorti. Il ne cherchait pas à savoir pourquoi : les choses étaient ainsi.Cette capacité à ne pas s'interroger sur son passé, à ne pas s'inquiéter de son avenir, à faire de son esprit tabula rasa un support vierge pour toute nouvelle personnalité était sans doute ce qui lui avait permis de suivre la route des tapineurs.
Il n'avait pas vraiment l'accent chinois - ou peut-être légèrement, et dans ce cas avait-il été amplifié. Il pouvait sans doute passer pour chinois aux yeux de ses congénères - mais Howe, habitué à son apparence, ne savait pas vraiment ce que cela signifiait. Il n'avait aucun tic de langage avant de venir ici, il en était persuadé, mais il avait fini par en prendre un. Il n'avait pas vraiment de personnalité auparavant, mais il s'en était construite une. Il était enfin devenu quelqu'un en s'investissant dans l'Enclave, une véritable personne, quelqu'un de vrai.
Howe n'était ni extravagant, ni d'une grande banalité : il flottait sans cesse entre ces deux pôles sans jamais les rejoindre. Son apparence physique avait quelque chose de classique que l'on oubliait volontiers - un atout certain qui empêchait la plupart des gens de fournir une description physique précise de lui. Tout au plus pouvait-on noter ses cheveux sombres, bruns ou noirs, qui encadraient un visage à la peau plutôt claire, sans fournir plus de détails. Les traits de ce visage se fondaient dans un flou qui n'avait rien d'artistique : on n'aurait su dire, à travers cette brume, si son nez était prononcé ou non, s'il avait les yeux enfoncés, si sa bouche était faite pour rire ou pleurer. On ne le regardait presque pas, et cela l'arrangeait.
Plus singuliers étaient ses traits de caractère, sans qu'on puisse les considérer comme étant particulièrement exceptionnels. Ni saint, ni démon, Howe avait ses qualités comme ses défauts. On le reconnaissait volontiers patient et attentif, et son métier de reporter y était sans doute pour quelque chose, de même qu'on était souvent forcé de conclure que Howe était quelqu'un de globalement prudent, sans que celle-ci ne prenne chez lui des teintes excessives. Mais il était également déterminé et prêt à beaucoup (certes pas tout) pour parvenir à ses fins, d'après les personnes qui avaient eu affaire à lui. Et tout le monde s'accordait à dire pour affirmer qu'il existait chez Howe une certaine simplicité qui flirtait avec de la naïveté, et si on se demandait parfois si elle était feinte, on finissait toujours par se convaincre qu'elle avait (au moins) un fond de vérité.
Il paraissait là, vraiment honnête, vraiment sincère, et pourtant, Howe n'était jamais qu'à 50% de ce qu'il faisait. Il y avait toujours cette part de son cerveau qui s'envolait quelque part, et qui notait des choses qui ne lui paraissaient pas toujours d'intérêt. Un peu absent du monde auquel pourtant il participait. Il se demandait parfois s'il n'avait pas une tendance naturelle au vagabondage intellectuel, et s'il était vraiment si attentif que cela à ce qui n'aurait pas dû être remarqué. Était-il vraiment intellectuel ? Il semblait à Howe qu'il avait été un peu cultivé, mais il ne se sentait pas non plus tout à fait à l'aise avec cette idée. L'impression que sa plume à papotes accomplissait pour lui la majorité de son travail ne se dissipait jamais - mais il n'en concevait pas de honte, pas vraiment.
Howe portait un regard enchanté sur le monde, et pourtant, il voulait partir. Il ne pensait pas que ce qui existait au-delà du Mur était foncièrement meilleur que ce qu'il connaissait ici ; il ne désirait pas retrouver son ancienne identité ou ses souvenirs ; on pouvait même dire qu'il se plaisait dans sa nouvelle vie et qu'il en était très satisfait. Mais l'envie d'un autre le tenaillait toujours au ventre, l'envie de ne pas se trouver dans la position où il se trouvait actuellement, l'envie d'être quelqu'un d'autre, qui ne serait plus lui-même ou Howe, l'envie d'un monde de simplicité où on n'aurait plus besoin de réfléchir et de comploter, un monde, enfin, où on pourrait véritablement se reposer.
Ce désir n'avait strictement rien à voir avec le sommeil, que Howe avait plutôt bon et dont il ne pouvait se plaindre, mais d'une fatigue récurrente et d'un agacement qui ne manquait pas de se manifester chez lui lorsque sa véritable réserve de patience était écoulée - ce qui arrivait bien plus vite que la plupart des gens imaginait. Howe avait un côté irritable que l'on ne soupçonnait pas vraiment, tant il paraissait paisible de l'extérieur. Mais à l'intérieur, son esprit était à vif, et la chair à sang. Il éprouvait toutes les difficultés du monde à conserver son calme et ressentait sans cesse les affres d'une agitation perpétuelle. Il se plaignait souvent de fatigue, et parfois de mots de tête, dont l'intensité n'avait certes rien à voir avec une migraine, mais qui pouvaient se révéler plutôt gênantes au quotidien. La sensation de ses yeux qui le piquaient parachevait ce tableau qui semblait le rendre inapte à son métier.
En réalité, Howe avait déjà avancé une explication possible à son état : il en faisait probablement trop. Son personnage le submergeait parfois, et sans aucune autre personnalité à lui opposer, il en venait parfois à croire qu'il était véritablement ce qu'il paraissait. Mais Howe se reprenait toujours bien vite, car il aurait été dangereux de se laisser aller de la sorte plus longtemps. Il se doutait cependant qu'il viendrait peut-être un jour où cette tension irrésolue deviendrait insupportable et où il devrait rejoindre le camp des Liontari comme si de rien n'était, la honte jetant ses ailes puissantes dans son dos. Ce jour, fort heureusement, n'était pas encore arrivé.
Il considérait en tout cas que ce flou qu'il concevait parfois à l'égard de sa propre identité était sans doute ce qui l'avait protégé pendant toutes ces années. Quiconque aurait regardé dans son esprit n'aurait pas su exactement qui était Howe et en aurait retiré l'impression d'une âme perturbée et confuse - ce qu'il était réellement. Cela n'excluait pas le risque que son secret fût démasqué, mais les apparences étaient maintenues.
Et puis, il aimait sa vie avec une joie considérable et pure qui faisait passer tous ces petits désagréments de santé pour des détails négligeables et le réconciliait avec son quotidien. Au fond de lui, Howe était sincèrement et complètement optimiste. S'il n'était pas satisfait de sa situation, il estimait toujours qu'elle aurait pu être pire et combattait ses rêves d'évasion par des songes d'avenir légèrement idéalistes, mais qui lui fournissaient l'énergie dont il avait besoin pour avancer. Il était capable de donner à son visage un air de grande douceur lorsqu'il songeait à tous ces avenirs possiblement brillants. Peut-être y avait-il quelque chose de désespéré dans la façon dont il s'accrochait à ses désirs - la peur de laisser ressortir un naturel pessimiste qui lui couperait l'herbe sous le pied s'il le laissait en liberté, la crainte superstitieuse d'attirer le malheur par de sombres pensées... Peut-être la force de son optimisme ne s'exprimait-elle qu'à la faveur d'une angoisse existentielle sans fond. Mais si cette angoisse existait, Howe ne la percevait pas vraiment, tout au plus en ressentait-il quelques effets. Joyeux, heureux, peut-être, parce que la vie était courte et parfois source de souffrance, mais d'une joie éclatante et brillante qui consolait tout.
Sa gentillesse trouvait racine dans cette joie lumineuse et s'en nourrissait abondamment. Howe avait toujours de petites attentions pour ceux qu'il appréciait - ou qu'il se devait d'apprécier, même si son cœur lui dictait des sentiments tout à fait contraires. Il s'efforçait toujours d'être attentif aux autres, et pas uniquement à cause des informations qu'ils pouvaient leur apporter, ou parce qu'il voulait se faire bien voir, mais parce que cela lui plaisait. En contrepartie, il pouvait se montrer particulièrement odieux envers ceux qui le rebutaient, non sans avoir auparavant pesé le pour et le contre, car il n'était pas le genre d'homme à laisser ses pensées parler pour lui. Il n'y avait pourtant pas de pointe de culpabilité dans cette gentillesse que Howe offrait à ceux qu'il trompait - quand bien même ils étaient très proches et qu'il ressentait pour eux des sentiments affectifs indestructibles, Howe était tout simplement incapable de s'en vouloir de leur mentir. Il ne cherchait donc pas à se racheter ou à se faire pardonner grâce à sa gentillesse. Il se contentait de suivre une inclinaison de son cœur qui le portait à agir avec générosité à leur égard. S'il se faisait démasquer un jour, il ne voudrait plus rien savoir d'eux, même si leur présence et leur amitié lui manqueraient. Howe ne voulait pas contempler la peine ou la colère qui s'empareraient d'eux si tout était découvert, mais il souhaitait encore moins assister à des manifestations d'indifférence de la part de personnes avec qui il entretenait de si bons rapports auparavant. De la sorte, il se préservait, entretenait l'illusion que ce qu'il faisait n'était pas répréhensible.
En dehors de cela, Howe n'était guère le genre d'homme à se bercer d'illusions - il était en fait plutôt réaliste, presque lucide même. En revanche, il ne se montrait jamais révolté, capable de faire preuve d'une tolérance presque insoutenable envers ce qui aurait dû être critiqué. Diverses explications auraient pu être données pour expliquer ce comportement, mais aucune ne semblait tout à fait coller à la situation particulière de Howe. Sans être foncièrement immoral, Howe avait simplement l'habitude de faire montre d'une formidable indifférence à l'égards des questions d'importance. Être journaliste ne signifiait pas forcément avoir une opinion sur chaque chose, Howe en était persuadé. À condition de vouloir prétendre à une forme d'objectivité. Howe s'arrangeait toujours pour ne pas avoir à exposer ses idées ; et s'il devait le faire, c'était toujours avec une certaine retenue prudente qui lui évitait de trop s'exposer. Mieux valait, dans ces conditions, se retenir autant que possible de trop penser, et il le faisait plutôt bien, Howe. Il pouvait vraiment donner l'impression de ne pas avoir d'avis sur un sujet, d'apprendre d'en savoir plus pour se décider. Et dans tous les cas, il préférait, dans ses articles, développer des interrogations plutôt que des idées bien définies. Car quoi de plus dangereux que les idées ? Howe ne les aimait pas du tout. Il s'en méfiait. On mourrait pour des idées - quelle absurdité. Pour lui, il existait une différence fondamentale entre les grands principes et la réalité : les deux étaient condamnés à ne jamais se rencontrer.
D'ailleurs, Howe avait des préoccupations plis importantes que de simples questions abstraites. Au fond, il ne savait pas vraiment ce qu'il aimait. Il ne lui semblait pas avoir de véritable loisir qui lui plaisait. Il se contentait de faire ce qu'il fallait, y compris lors de son temps libre. Et s'il devait s'inquiéter de quelque chose de sa vie, c'était bien cela. La certitude de passer à côté de quelque chose de fondamental et d'agréable. En fait, ce n'était même pas quelque chose qui angoissait Howe. La plupart du temps, il n'y pensait même pas. Mais s'il ne devait adresser qu'une seule critique à sa vie, une seule ; s'il n'y avait qu'une seule chose qu'il devait changer, une seule, ce serait celle-là : découvrir ce pourquoi il avait vraiment envie de vivre.


Toi et la magie La magie est une affaire sérieuse, je crois, mais je ne parviens pas à lui donner dans ma vie la place qu'elle mériterait. Je me méfie d'elle autant que je l'utilise, et je la trouve bien pratique, mais, je sais pas, je ne me trouve pas très enthousiaste avec elle. La magie, c'est la magie, non ? Pas besoin d'en dire plus.
Je peux très bien me passer de magie. Je pense. Ça finira sans doute par me manquer à un moment mais je n'y suis pas accro.  Je n'ai jamais été un sorcier particulièrement doué, de toute façon, alors vivre comme un moldu (je crois que c'est comme ça qu'on appelle les gens sans pouvoirs, aussi incroyable que ça puisse paraître), ça ne me dérangerait pas forcément. Peut-être que mon job serait plus simple sans la magie. Je ne dis pas que j'aimerais que ma vie soit plus simple, je fais simplement un constat.
Et même si la magie n'existait plus, j'aurais toujours des ressources. Je sais me défendre à mains nues, c'est déjà très bien. Peut-être que ça m'avantagerait, dans le fond. Mais je préfère éviter toute spéculation douteuse et ne pas réfléchir à la question. C'est mieux ainsi.

Quelle a été votre réaction face à votre amnésie ? Je ne m'en souviens plus.

Quelle est votre opinion sur la disparition récente de Lucius ? Évidemment que j'ai couvert l'affaire. Cette disparition est l'un des plus gros scoops que j'ai eu l'occasion de croiser - forcément, je n'allais pas le laisser passer. J'ai essayé d'obtenir des renseignements sur le sujet. J'ai interviewé des gens en nombre, j'ai mené des enquêtes minutieuses, mais je n'ai strictement rien trouvé. Je ne peux exclure que ma méthode soit mauvaise, je ne suis pas habitué à tenter de percer d'aussi gros secrets, j'ai probablement dû me montrer maladroit ou mal inspiré, mais le résultat est là : je n'ai strictement rien de plus à dire sur le sujet qu'un autre, et je dois bien avouer que cela m'embête. J'aurais dû trouver quelque chose. À défaut, j'ai fait de très bons articles sur les théories les plus farfelues sur cette disparition - et je suis quasiment certain que ces hypothèses sont très loin de la vérité.
Il y en a peut-être une, à laquelle je ne crois pas trop, mais qui pourrait fonctionner, qui dirait que Lucius serait probablement mort en cachette. Je n'ai aucune preuve à avancer, d'ailleurs, mais mon instinct me souffle qu'il y a quelque chose à faire avec cette idée. Je me trompe peut-être complètement de voie, mais il faut bien commencer par quelque chose.

- Afin de parachever son déguisement, Howe éclaircit ses cheveux et porte quotidiennement des lentilles claires adaptées à ses yeux foncés, de préférence des bleues ou des vertes, de la couleur de la mer.

- Howe succombe volontiers au plaisir d'un yaourt à la texture onctueuse - c'est, en quelque sorte, son petit péché mignon. Il apprécie la douceur d'une texture crémeuse fondant sur la langue, dénuée de tous ces morceaux indélicats qui irritent le palais. Préparés à l'ancienne, dotés de saveurs subtilement fruitées, les yaourts ravissent ses sens et représentent son seul véritable plaisir de sa vie de dur labeur.

- On ne croise jamais Howe sans un peu de parchemin et sa plume à papote. Mais oubliez les calomnies honteuses de Mrs Skeeter : la plume de Howe rapporte toujours scrupuleusement ce que les personnes interviewées lui ont confié. Plus que de l'honnêteté intellectuelle, l'usage qui peut être fait des informations exactes qu'il récupère explique la sincérité des propos. Cependant, comme toute plume à papote, celle-ci a son petit caractère, et surtout ses petites particularités. En l'occurrence, elle lui permet de coder certaines informations pour éviter qu'une personne tombant par hasard sur ses notes avant qu'il ne les aient brûlées ne découvre quelque chose que Howe tenait à garder secret.

- Malgré son mode de vie de journaliste, Howe reste un Liontari, plutôt hostile à Aquila, bien qu'il s'efforce de ne pas le montrer. Il s'entraîne quotidiennement et en secret au combat à main nues, ne privilégiant aucun art martial en particulier mais puisant un peu partout pour se constituer une réserve de prises et esquives qui lui serviraient au cas où il serait démasqué. Il tient à rester en forme au cas où il en aurait besoin.

- Howe a très rarement peur des autres, à une exception près - You, une personne dérangée de son voisinage, qui ne connaît sans doute pas son secret, mais qui a la fâcheuse tendance à apparaître de façon totalement aléatoire au mauvais endroit au mauvais moment. You rend Howe complètement paranoïaque : la crainte de voir cette personne rentrer chez lui est continuellement présente.

Et Howe howe howe, une bouteille de rhum !
Je n'aime pas trop le rpg mais j'en fait quand même. Je n'ai pas d'amis et je le vis (presque) bien. La faute à mon sale caractère, mais aimez-moi svp.

Toutes mes excuses pour le temps pour finir cette fiche, j'aime m'appliquer quand je crée de nouveaux personnages ! J'espère d'ailleurs que le petit Howe vous plaira.

Oui, je sais, le codage de la fiche est moche, je ne sais pas faire mieux.


★ MESSAGES : 131
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★ CRÉDITS : effie / sahil / croyance
★ RÔLE : cerbère
Nassim
Nassim
AQUILA
je suis encore un peu choqué que tu aies accepté ma proposition d'avatar (mais pas déçu Howe oui, howe non. 619983302 ).
j'adore ton nom de chinois, dis-moi que tu feras un chinois stp.
(le temps va passer lentement omg Howe oui, howe non. 2488849243 je veux trop en savoir plus)

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★ RÔLE : Reine d'Aquila
Isadora
Isadora
AQUILA
Cet avatar omg. Nous avons ici un génie.

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Howe oui, howe non. 2488849243

Anonymous
Invité
howe howe howe je suis le père noël

dsl pour la blague nul, tu m'as fais trop rire avec ton avatar mais j'veux lire ta fiche voilà, j'ai hâte (courage à toi hihi)

Anonymous
Invité
...cet avatar. Howe oui, howe non. 1559615674
i mean, un tapineur. voilà, j'ai tout dit.

bienvenue et bon courage pour ta fiche. I love you
des bisous.

★ MESSAGES : 164
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Effie
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AQUILA
... c'est mal les fiches vides Howe oui, howe non. 3890907302 (et interdit ofc, mais on te pardonne c'est l'ouverture Howe oui, howe non. 2078736631 )
j'ai vraiment hâte de voir ce que tu nous réserves avec ce rôle, really Howe oui, howe non. 2873760665

bienvenue et bonne chance pour la rédaction de ta fiche I love you

★ MESSAGES : 332
★ AVATAR : Lance(lot) — VOLTRON
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★ RÔLE : Soldat Duelliste/Ancien Tapineur.
Finn
Finn
LIONTARI
Howe a écrit:
Orientation Sexuelle — non pertinent

c'est du détail, mais rien que pour ça jtm. Pis j'ai hâte de voir une autre tête que celle de Mozart aussi, j'avoue. Howe oui, howe non. 4049001572

par contre, dunno si c'était pour remplir le vide ou pas mais "dans l'enclave depuis — 12 ans" c'pas possible malheureusement! Le maximum, c'est 10 ans, si jamais t'as besoin, tu peux te référer à la chronologie se trouvant dans l'annexe l'enclave — compléments!

Anonymous
Invité
Stop la flemme Mozart Howe oui, howe non. 1245476499

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LIONTARI
Grv j'att mon autre Tapipi là Howe oui, howe non. 2977921854 Howe oui, howe non. 2977921854 Howe oui, howe non. 2977921854

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★ RÔLE : cerbère
Nassim
Nassim
AQUILA
TA FICHE EST TELLEMENT BELLE je pleure de jalousie je t'assure. Howe oui, howe non. 1034424727
je suis absolument fan de howe, c'est totalement mon genre de personnage, il est à la fois simple et élaboré, totalement dans l'élégance de la routine. je suis tellement en amour que je voudrais un rp tout de suite. Howe oui, howe non. 1034424727

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L'Artiste
L'Artiste
Admin
liontari  
courage is fire, and bullying is smoke
nom de l'image


... décès imminent. Cette fiche est la plus belle/fabuleuse/parfaite/jdvdiz fiche qu'il m'ai été donné de lire ? Howe oui, howe non. 2528913383 Mais pourquoi es tu un lion ? Why ? Howe oui, howe non. 2528913383 Le code est divin, la personnalité d'Howe est complexe et profondément humaine dans son ambivalité et Eren, quoi, Eren Howe oui, howe non. 3198579452
On est bien d'accord, il est Tapineur chez Asvós ? I love you

Bienvenue chez les Lions!
Maintenant que tu es validé(e), n'oublie pas d'aller te recenser, mais aussi de créer ta fiche de liens afin que tu puisses fomenter des plans avec les autres membres pour sortir de l'Enclave!

L'Enclave t'es dorénavant ouverte.



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