I s a d o r a
Celle qu’on adore et qu’on adora.
Tu ne te contentes pas d’être celle qu’il a voulu que tu sois, tu demeures le pilier de son âme qu’ils perçoivent en toi. Oh Isadora, femme forte aux tenues de soie, férocité enveloppée d’un doux chocolat. Tu joues contre toi même, constamment. Tu te caches, tu te dissimules derrière ces sourires chaleureux, cette main tendue aux plus nécessiteux.

I s a d o r a
Tu es forte.
Forte et inébranlable. Destructrice et indestructible.
Mais pourtant si sensible.
C’est fou comme les larmes n’arrivent pas à sortir, quand on t’entoure, c’est dangereux comme tu arrives à mentir, quand on t’envoute. Mais chacun de tes actes est mesuré, calculé, programmé pour un seul but : la victoire. Tu n’abandonnes jamais, même si la seule solution qui pourrait rester serait d’aller régler le problème toi même, même si tu dois te sacrifier. Tu n’as rien à perdre, tout à gagner. Et tu en veux toujours plus, Isa. Toujours plus n’est jamais assez. Et tu en as assez de courber l’échine pour en avoir plus. Assez.

W e w i l l f i n d Y o u a c t i n g o n y o u r b e s t b e h a v i o r
Tu la sens, cette sensation éphémère, qui ronge tes sens ? Ce parasite que tu consommes et qui te consume. Isadora, froide d’apparence mais pourtant si aimée. Tu ne crains pas de porter tout le poids du monde sur tes épaules, tu as juste peur de t’écrouler sous la pression, tu as juste peur qu’on te découvre le genou posé à terre.
Tu souris, tu écoutes, tu te relèves et, la baguette fièrement tu lèves, elle qui mène à succès tes discours éloquents. C’est ta véritable force, Isa: les mots. Les mots sont puissants, assemblés dans le bon ordre. Les mots sont comme les monnaies, ils ont une valeur propre avant d'exprimer tous les genres de valeur.

T u r n y o u r b a c k o n m o t h e r n a t u r e
T’as poussé comme une rose au milieu des orties. Tu ne te soucis guère des apparences et de l’image que tu renvoies, tu ne penses qu’à la guerre parfois, et aux soucis qu’elle te renvoie. Tu serais prête à te mettre à dos l’Enclave pour sauver Aquila. Tu serais prête à mourir pour les protéger, à pourrir pour les épargner.
Tu as appris à ne plus avoir peur d’avoir mal, à ne plus craindre la douleur aussi insipide est-elle. Tu as appris à rester aussi droite, même si ton corps, même si tes os se brisent, tu resterais droite, même si devenu marionnette prisonnière des fils qui te font danser, tu resterais droite.

E v e r y b o d y w a n t s t o r u l e t h e w o r l d
Tu n’as qu’une seule ambition : la victoire et la prospérité de ton clan. Malgré ton manque cruel d’empathie envers l’humain d’un point de vue individuel, le peuple représente à tes yeux une immense famille dont on t’a chargé de veiller et de protéger.
Comme la foudre, tu t’abattras sur la route de quiconque tenterait de te soustraire à ton devoir, de te faire manquer à tes avoirs.
Ta force est devenue faiblesse. Tes faiblesses sont devenus une force.

+ Anecdotes politiques et militaires :
— Isadora a été choisi comme successeuse à Lucius face à une vingtaine de prétendants.
— Elle aurait passé presque un an d'entraînement et de conditionnement aux côté de ces autres sorciers.
— Lucius l’aurait choisi à cause de son tempérament, de son éloquence et du contrôle de ses émotions.
— Pragmatique, la jeune femme serait capable d’envoyer ses propres hommes à la mort dans l’intérêt de son peuple, quand victoire se ferait certaine.
— La reine a conscience d’un poids qui pèse sur ses épaules mais assume ses actions.
— Elle serait capable de se jeter en première ligne malgré les critiques.
— En raison de son caractère tempéré, Isadora est très appréciée des membres d’Aquila.
— Isadora est une duelliste accomplie.
— Elle n’a pas froid aux yeux et ne craint pas de dire ce qu’elle pense, même si elle trouve toujours les bons mots pour que son interlocuteur ne trouve rien à en redire.

+ Anecdotes intimes et personnelles :
— Elle est présente dans l’Enclave depuis 6 ans.
— Isadora déteste qu’on l’appelle Sissi mais préfère faire bonne figure.
— Elle pourrait se nourrir uniquement de fraisier et de curry.
— Son unique et vraie peur, ce sont les oiseaux. Ils n’ont pas de bras et elle trouve leur regard intrusif. Elle n’en ferait pas une crise de nerfs mais se crispe généralement quand elle en aperçoit près d’elle.
— Elle est en réalité très compétitrice malgré les apparences mais c’est un défaut sur lequel elle travaille depuis son arrivée dans l’enclave.
— Elle change de comportement quand elle se trouve seule en présence d’un chat.
— Elle aime autant les filles que les garçons.
— Rechercher l’amour ne l’intéresse pas, ce pourquoi la différenciation d’un genre à un autre l’indiffère.
— Elle fume la pipe le soir avant de dormir, quand elle est seule dans sa chambre.
— Elle aime les robes mais préfèrent les tenues de combat.
— Elle manque cruellement d’empathie malgré sa sensibilité et a du mal à avoir de la peine pour les gens qui ne le méritent pas tout spécialement à ses yeux.
— Elle aurait craqué pour Lucius, inconsciemment, sans même s’en rendre compte. (elle ne se comportait donc pas différemment en sa présence pour autant).