Septou a écrit:

Ce monde ne te mérite pas, Finn - jamais il ne te méritera.

Citation :

Est-ce que tu sais c'que ça fait d'voler ? Je murmure, comme un secret. Est-ce que tu sais vraiment qui tu es ?

attipuce a écrit:

Bon, maintenant, qui a eu cette idée complètement débile de t'inscrire aux duels ?

wsh nan mais, faudrait prévenir là les gens.
Dire quand un rp est trop cute, ou autre.

Parce que là le rp Attange, il m'a tué, c'est tellement mignon, jpp.

EDIT : Par contre j'ai hâte de voir (si un jour il y a) un rp Atticus/Chaussette où Atti a engueuler Chau.

Ulrik a écrit:

« Si tu fais référence à cette histoire, elle ne concerne qu'Atticus et moi. Personne ne te demande de choisir ! Et choisir quoi de toute manière !? » S'emporta-t-il, sa voix grattant l'espace, cognant les murs à la place de ses poings qui voulaient s'écraser contre la table sans le pouvoir.

     
Note à moi-même lorsque mon âme sera revenue dans mon corps : ne plus jamais combiner le rp avec Ulrik avec des musiques dramatiques et feelantes as fuck.

iudas le magnifique a écrit:

Tu ne devrais pas te montrer ainsi. L’esprit indomptable de l’homme s'émeut quelques instants, car il se sait faible et crédule. Même si elles ont la délicatesse des fleurs, que feras-tu si leur parfum exhale pourriture et traîtrise ?   Mais il n’écoute plus. Il est las, si l’as d’être constamment sur ses gardes. Si sa défiance gangrène les autres sa propre méfiance n’a pas fini de lui pourrir le cœur. Aussi l’oiseau choisi de capituler. En toute âme et conscience. Il abdique à ces deux souris une victoire inédite.

Atticus a écrit:

Un instant d'hésitation, à se demander ce qu'il sous entend. On dirait presque qu'il suggère de prendre les armes, d'aller se battre.
Et en un sens, c'est bien ce qu'il veut. Se battre, contre l'Enclave, contre ce qui les a enfermé là. Contre ce qui les menace tous.

Atticus a écrit:

Doucement, comme face à un animal apeuré, il fait quelque pas vers Vox. Ses mains viennent se poser sur ses bras, et sa tête se penche pour la regarder dans les yeux. Pour ne pas perdre une miette de son visage, ne pas louper le moindre changement d'expression chez celle qu'il a si longtemps considéré comme sa famille. « On sait qu'il a trop peur pour ça. Ulrik... » Son cœur manque un battement ou deux, mais il le cache comme il le peut. « Ulrik ne nous sortira pas d'ici. Il n'a jamais voulu être chef, et il n'y arrive pas. Je ne peux plus accepter ça. Il faut que... Il faut les faire passer avant. » Les faire passer avant ses propres sentiments, avant les sentiments de Vox. Même s'il doit partir d'ici, être traité comme un paria par ceux qu'il a considéré comme ses proches.
Mais ils n'en sont pas encore là.

Jack a écrit:

Elle soulevait des tempêtes viscérales et dans ses synapses, marquait son nom au fer rouge puis brûlait son image sur ses rétines. Cela devait être la révolte de la voir scrupuleusement incorrigible, pavoisant dans l’étoffe de tous ses vices, qui l’agitait tant.

Ulrik a écrit:

Atticus a écrit:

Doucement, comme face à un animal apeuré, il fait quelque pas vers Vox. Ses mains viennent se poser sur ses bras, et sa tête se penche pour la regarder dans les yeux. Pour ne pas perdre une miette de son visage, ne pas louper le moindre changement d'expression chez celle qu'il a si longtemps considéré comme sa famille. « On sait qu'il a trop peur pour ça. Ulrik... » Son cœur manque un battement ou deux, mais il le cache comme il le peut. « Ulrik ne nous sortira pas d'ici. Il n'a jamais voulu être chef, et il n'y arrive pas. Je ne peux plus accepter ça. Il faut que... Il faut les faire passer avant.  » Les faire passer avant ses propres sentiments, avant les sentiments de Vox. Même s'il doit partir d'ici, être traité comme un paria par ceux qu'il a considéré comme ses proches.
Mais ils n'en sont pas encore là.

Mais euh....
Ça fait dix ans que je suis chef, et y Attik' qui revient et dis que je fais pas bien.
Est-ce que je suis un si mauvais chef que ça ??

JE TE DÉFEND DANS LE RP BB

Captain Hook a écrit:

On ne tue pas les anges en enfer.

Ulrik a écrit:

Il était heureux de pouvoir en parler à Vox. Parce que s'il avait à faire un choix seul, elle serait l'un des candidats. Et la revoir ce soir ne rendait le choix que plus évident.

Vous me mettez tout les deux en pls ce soir, ça va pas du tout, jpp de vous et de nos rp, i quit.

Atticus a écrit:

Ulrik dit qu'il n'est pas son ennemi. Et seulement à ces mots, Atticus relève la tête, les yeux écarquillés sous l'incrédulité et un peu, sous la peur aussi. Comment en être sûr ? Comment savoir si Ulrik n'est pas celui qui l'a trahi ? Comment se douter qu'Ulrik n'y est pour rien ? Et pourtant. Et pourtant, c'est là, dans la façon qu'Ulrik a de le regarder. Il y a toujours cette douceur, cette douceur insensée de celui qui porte un clan à bout de bras. De celui qui essaie de les protéger. Oui, Atticus le sait. Et, lentement, il défait sa prise, relâche le col de son chef. « Je... » Il voudrait faire un pas en arrière, il voudrait dire quelque chose. Mais des deux, ça a toujours été Ulrik le plus éloquent. Là où Atticus est le coeur, il sait qu'Ulrik est le cerveau.

Et puis, Ulrik ne lui en laisse pas le temps. Ses bras viennent entourer Atticus, qui, trop surpris ne songe même pas à s'éloigner, ou à le repousser. A la place, il le laisse l'envahir. Au moins, il ne le frappe pas de nouveau, se dit-il vaguement. Ca, ça lui ressemble déjà plus. Il ne faut que quelques seconde à Atticus pour se souvenir de respirer, pour que la surprise s'efface. C'est presque instinctif, quand ses mains se mettent à trembler et qu'il les passe à son tour autour d'Ulrik, l'agrippant comme si sa vie en dépendait. Comme si seulement cet acte pouvait effacer à lui tout seul, les quatre dernières années. Ses yeux fixent le vide, sans vraiment y préter attention. Sa mâchoire est si serrée qu'il serait bien incapable d'articuler le moindre mot de toutes façons. Etrangement, tout son corps s'est tendu, mais il lui a rendu son étreinte. Il ne pensait pas qu'il en serait capable, et pourtant, le voilà, à se dire que si Ulrik le lâche maintenant, il sera perdu.

Il y a tellement de choses qu'il voudrait dire en cet instant. Qu'il a toujours peur. Qu'il doute encore des intentions d'Ulrik. Qu'il ne voulait pas sous-entendre qu'Ulrik était coupable de tout, jusqu'à l'avoir envoyé en expédition. Mais à la place, au lieu de dire tout ça, Atticus enfoui son visage dans l'épaule de son ami, et ferme les yeux. De là, il marmonne, quelque chose, quelque chose qui ne doit ressembler à rien de l'extérieur. Et encore une fois. Et encore une autre, comme une litanie, la seule chose qu'il est capable de comprendre en cet instant. Ou plutôt, la seule chose que son cerveau est encore incapable de traîter correctement. « Tu m'as abandonné. » ça finit par sortir, un peu plus fort, un peu moins contre l'épaule d'Ulrik. Comment peut-il se tenir là, comment peut-il lui dire qu'il n'est pas son ennemi après l'avoir abandonné ? Après l'avoir envoyé au casse-pipe et après l'avoir considéré comme mort ?

Circé a écrit:

et jusqu'au dernier instant son corps ne sera qu'à toi
qu'aux autres
à ces ombres sans visages voyageurs éthérés dans sa couche
comme une rêverie suave dont il ne restera au matin que
son odeur dans les draps

Léandre a écrit:

« J’t’emmerde. Je sais c’que j’suis. » Une sous-merde. Un perdant. Une honte. Un brasier qui risque de s’enflammer à tout moment pour expulser sa rage. Sa colère. « Pas b'soin qu't'en rajoutes. Casse-toi Hook. C’est pas l’moment. »

hookie a écrit:

Mais quand je dis que j’aime ressentir et ce, même le tourment, je ne mens pas. Ton rejet est opium et moi, moi j’en suis fou.