+ prénom et surnom Septima, La Terrible. + credo Certains, dans les campements, répètent cette phrase avant de partir en mission. Et ils ont bien raison. “Je suis prête à tous les sacrifices. Je jure de quitter cette prison, quoi qu’il m’en coûte” + âge La trentaine. + orientation sexuelle N’est pas réellement intéressée par les plaisirs de la chair – n’a pas le temps de s’en préoccuper. Mais, elle préfère malgré tout embrasser de temps à autre une belle poitrine – et non un torse. + rôle/métier Chef de Clan. + particularité magique Insuffleuse. + lieu d’habitation Dans l’antre des lions, la tante du chef est son «palais » - quelque peu modeste, mais semblable à ce qu’elle représente. + dans l’enclave depuis 10ans. + baguette Bois en ébène, plume d’oiseau-tonnerre, rigide, 25cm. + amortentia Du fer un peu rouillé, une plume de vivet doré, quelques mèches féminines. + épouvantard Ne plus avoir de voix – ne plus pouvoir se faire entendre. Finir pathétique.
développez votre personne sous forme d'anecdote. J'entends dans la nuit crier les valeureux qui auront vaillamment essayé. Le courage de chacun est étiolé par l'image idéalisée d'une femme qui a un jour voulu s'opposer aux utopistes. Parfois, un peu de sang vient jusqu'aux campements - des blessés qui reviennent nous conter comment ils n'ont pu nous libérer. Ils finissent entre les mains de Valkyrie qui est un piètre remerciement. Souvent, ces âmes délabrées ne savent pas qu'ils souffriront bien plus une fois devenus cobayes ; que lorsqu'ils marchaient ensanglantés dans les terres damnées. Certains jours, je sens en moi un peu de nostalgie ; je repense aux jours innocents où la mort n'avait pas un goût d'habitude. J'entends au loin les rires candides de mes anciens compagnons qui ignoraient encore tout de cet endroit maudit. Je me dis que le monde et le destin est cruel - tout comme ces souvenirs qui me cognent et me bouffent. C'est en général à ce moment là que Archi arrive, je me demande toujours si il ne doit pas le sentir. Je finis alors par lui parler et laisser couler les émotions - parce que je suis comme ça, je ne peux pas me contenir. De temps à autre, il m'arrive même de perdre mon sang froid devant des troupes ou bien en plein échange diplomatique ; mais j'en ai besoin. Je suis incapable de tout garder en moi. Je suis ainsi, et il m'est impossible retenir les mots - les maux. Puis y'a toujours cette peur d'être humiliée - pitoyable. Je ne peux pas la laisser me ronger : alors c'est la passion qui se transforme en un torrent qui me noie et emporte mon entourage dans ses eaux troubles. Avec le temps et les épreuves, cette passion a mué en un courage et persévérance ; eux-mêmes à l'origine de la création du combat rapproché. C'est aussi certainement ça qui m'a aidée à partir et affirmer ce pour quoi je suis encore ici ; Me battre, Et trouver le moyen d'enfin pouvoir m'en aller.
Tous nous libérer.
+ toi et la magie La magie a toujours été source de conflit. Elle a simplement commencé en me rongeant les mains - des doigts de la même couleur que l'ébène de ma baguette. Je sentais cette chose me bouffer le corps et l'énergie sans pouvoir la laisser souffler au travers de sortilèges balancés - j'avais beau essayer toutes les disciplines de la magie ; rien ne semblait être fait pour moi. Rien à part ce don - ou bien cette malédiction ? Cette sensation de vide lorsqu'un sort entre en contact avec mon corps ; puis ce besoin de tout faire sortir. C'est comme avoir un surplus d'émotions bien trop brusque pour arriver à le contenir ; c'est d'ailleurs ce mélange dégueulasse qui est à l'origine de ce renvoi. Chaque chose interceptée me transmet l'émotion qu'elle dégage ; les sentiments qui ont dégouliné sur une baguette mal pesée. Et j'ai toujours ce besoin irrépressible de tout recracher.
Lorsque je renvoie un sortilège, je ne renvoie pas une attaque, Ni juste de la magie, Je renvoie ce que l'autre a essayé de transmettre. + ton dernier souvenir Le dernier souvenir est censé être la chose à laquelle on se raccroche. Pour beaucoup, en particulier chez les Liontari, on a quelques bribes qui sont là pour nous rappeler où nous voulons retourner. Mais moi, les images sont toujours là, gravées ; affreuses.
Mais ce sont malgré tout elles qui me motivent.
Elles me font dire que je ne peux pas rester avec une telle essence. Que je dois creuser plus loin – parce que mon passé ne peut se résumer à de telles images. Tous les soirs avant de m’endormir je sens encore le contact froid et dur du sol sur mes genoux. Et pourtant, ce n’est pas ça qui me fait le plus mal. Ce sont ces rires qui viennent danser sur les murs et écorcher mon âme. Quelques chuchotements viennent m’achever, comme un millier de serpents sifflant ma médiocrité. J’entends encore cette voix. La mienne. Elle me dit, T’es rien Septima. T’es inutile. Putain d’incapable. Puis mes mains – frêles, jeunes - saisissent mes affaires : un sac et ma baguette. Et je m’en vais. Je ne sais pas où, mais je sens mon échine courbée et le poids d’un tas de mots qui se bousculent derrière mon dos.
L’origine même de mon existence ici-bas est l’humiliation.
+ quelle a été votre réaction face à votre amnésie? C'est tous les jours la même rengaine. Un matin où le réveil se fait lourd à cause d'une nuit passée à se souvenir sans jamais trouver de suite ni de début. Des journées où le seul moyen de ne pas y penser, c'est chercher comment tout retrouver - comment se libérer de cette prison. Puis le soleil se couche, et avec la lune arrivent de nouveau ces restes d'une vie décomposée ; un peu comme moi, je sens juste des parcelles de ma mémoire brisée. Et je finis par me coucher, l'estomac noué et le coeur enragé de ne jamais pouvoir comprendre. C'est tous les jours la même rengaine ; Je me sens paralysée. + quelle est votre opinion sur la disparition récente de Lucius ? L'inquiétude est de somme, bien qu'il ne faut pas la montrer - ni la partager ; car un soldat ne peut montrer ses doutes. Mais, Lucius étant un grand rival, le savoir avoir perdu au point de ne plus être est source d'interrogations : qui, ou quoi est à l'origine d'une telle perte ? Pourrons-nous nous protéger de ce même mal ? Alors je durcis un peu plus ma poigne ; mes soldats doivent plus s'entrainer, mieux observer - car aucun de nous ne doit finir comme lui.
[01:40:40] @ Finn : (d'ailleurs, KOMMENT T'AS PAS SOUHAITÉ LA BIENVENUE À SEPTIMA) [01:40:45] @ Finn : (KOMMENT J'AIMERAIS PAS ÊTRE À TA PLACE)
tu te rends compte que je me fais engueuler par lui? non mais allo quoi.
jtm, on va conquérir le monde ensemble (enfin, s'échapper) mais le plus important, on va se réunir dans ta tente et bitcher ensemble autour d'un verre de vin et surtout se moquer du kiki rikiki de finn.
LUST LUUUUUST je dois dire qu'avoir fini FMA brotherhood il y a deux jours accroît fortement mon amour pour ce personnage et pour le choix d'avatar j'aime déjà cette fiche ! bonne continuation
WESH FINN ASKIP MOINS QUE TOI (mais irl sinon irp c moi la mieux)
Wesh Archi ça me brûle la langue de dire ça mais il a raison. T'ETAIS OU PENDANT 1H ET 51 MINUTES ??? Heureusement, tu te rattrapes vachement bien avec ta dernière proposition d'activité.
Roh Nassim, merci.
ISA COMMENT C'EST TROP MIGNON CE QUE TU DIS Tkt on s'aime sans s'aimer, c'est encore plus bô ainsi.
Je vois pas trop ce que je peux dire parce que. frrr. Je savais que t'allais cerné Septima à 100% (pis gosh, Septima qui aime les poitrines, genre vas-y c'tellement perf). Pis, big up pour cette insuffleuse t'as genre, tellement bien compris le principe et tu l'as approprié à Septima et son besoin après avoir encaissé, de recracher le trop plein. T'es perf, Septima est perf, ta plume est perf. Mais tu restes quand même une mocheté, wallah.
Bienvenue chez les Lions! Maintenant que tu es validé(e), n'oublie pas d'aller te recenser, mais aussi de créer ta fiche de liens afin que tu puisses fomenter des plans avec les autres membres pour sortir de l'Enclave!
L'Enclave t'es dorénavant ouverte.
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bon courage pour la suite. 
